On n’a pas le droit de regretter,
quand on a choisi. C’est interdit.
Mais bordel, t’aurait quand même
pût m’en empêcher. Une année entière à te le rabâcher. Une année entière à te
menacer, te prévenir. Petit con que tu es.
T’as plus le droit de m’en
empêcher. C’est trop tard. J’ai repris mes cartes. Tu as perdu la partie. Ou
peut-être que tu l’as gagné, finalement. Vas savoir. Va savoir pourquoi tu as
décidé de laisser tomber. Va savoir pourquoi tu as choisis de tomber amoureux.
Tu ne me manque pas.
Un peu peut-être.
Toi. Ton rire narquois. Ton petit
nez. Tes habits que tu laissais traîner. Ta passion pour râler, toujours, quoi
que l’on fasse. Ton talent à remettre les problèmes sur moi, et à y trouver des
solutions faciles. Que de choses positives, en somme.
T’avais pas le droit de débarquer
de toute manière. T’avais pas le droit de me changer, de me faire oublier. Je t’avais
dit que tu n’allais pas y arriver. T’avais pas le droit de me faire croire que
tout serait merveilleux, si j’étais différente. T’avais pas le droit de me
montrer l’exemple. T’avais pas le droit...
Tes petites roses dans les mains.
Mon lit qui sent beaucoup trop ton odeur. Ton rire beaucoup trop doux et tes
notes de musiques qui me résonnent dans la tête. Tu es de retour.
Ne reviens plus. C’est terminé.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire